Aujourd'hui, en France, le secteur de la construction représente près de 40 % des consommations d'énergie, occupant ainsi la première place, 23 % des émissions de CO2. C'est un état des lieux très préoccupant. Il s'explique par une médiocre qualité de l'isolation et de l'étanchéité des bâtiments d'un parc immobilier vétuste, ainsi que des équipements énergivores installés avant 1975. A cette époque là, aucune réglementation thermique n'était en vigueur.
Il faut donc tendre vers une construction de bâtis performants pour limiter les besoins énergétiques. Le poste du chauffage est à lui seul responsable de plus de 70 % des dépenses. Il doit être réduit massivement afin de rendre les bâtiments moins énergivores moins émetteur de CO 2 et plus économique pour l'occupant. Le grenelle de l'environnement, la RT 2012, et aujourd'hui la RE 2020, ont priorisé des actions pour limiter massivement l'impact de ce secteur sur l'environnement. Il y a des leviers efficaces pour les logements neufs comme pour les constructions existantes comme des incitations fiscales par exemple. L'utilisation de fournitures plus respectueuses de l'environnement est la clé de voute. Il est impératif de favoriser l'usage de produits issus de matières premières aux ressources disponibles, renouvelables et recyclées. Quelles sont nos quatre plus grandes motivations : - Préserver la planète, en favorisant le solaire, le photovoltaïque, en densifiant les logements avec des extensions et des surélévations. - Assurer le bien être acoustique et surtout thermique des occupants - Préserver la qualité de l'air ambiant - Réduire la facture de chauffage - Valoriser son patrimoine immobilier grâce aux classes énergétiques mises en place lors des ventes de biens maintenant. Les trois piliers des éco-chantiers sont l'expertise des sociétés qui font comme nous de la maison en ossature bois finlandaise, la performance énergétique qui répondent à la RE 2020 et bien entendu le respect de l'environnement en proposant des matériaux comme le bois à faible impact environnemental qui répond aux attentes du marché. Le bois est en effet un matériau responsable, éco-certifié PEFC, issu de forêts gérées durablement. Pour construire et rénover performant, il faut penser isolation, première étape vers la réduction des dépenses. Sur des maisons des années 1980, les déperditions thermiques sont réparties de façon inégale : 30 % au niveau de la toiture, 25 % au niveau des murs, 13 % des menuiseries extérieures et 7 % du plancher. Il faut également penser étanchéité. L'isolation en dépend. Nous faisons des test d'étanchéité à l'air à chaque réception de chantier pour valider la performance de notre installation en bois. La ventilation quant à elle garantit une bonne qualité de l'air. Elle permet également de lutter contre les pollutions intérieures diverses (mauvaises odeurs, acariens et microbes, moisissure et humidité). Il est donc primordial d'avoir du bois de belle qualité mais également une qualité de pose qui permettre de limiter les ponts thermiques afin d'atteindre les objectifs fixés par la RE 2020. Celle-ci nous offre de réelles opportunités. Les parois en ossature avec ou sans isolation supplémentaire, répondent en effet parfaitement aux orientations de cette norme. Ce sont des constructions rapides, saines, sans trop d'impact sur le terrain et son environnement. Pour résumer, construire durable est un défi que nous pouvons relever avec vous. Vous devrez au préalable, choisir un terrain constructible bien sûr, loin des zones inondables, orienter votre maison de façon optimale qui permettra d'utiliser le soleil, respecter les règles d'urbanisme quant à l'architecture acceptée dans la commune de la construction ( pente de toiture, etc...).
1 Commentaire
Nous sommes tous conscients de la nécessité de faire quelque chose pour sauver la planète. Le changement climatique, c'est l'affaire de tous. Les dérèglements que nous vivons sont la conséquence des comportements que nous avons eus il y a plusieurs dizaines d'années. Il faut se dire qu'il n'est pas trop tard et que nous avons encore des leviers. Mais que pouvez-vous faire maintenant pour changer les choses ? Et si on commençait tout simplement par une vie ZERO DECHET ? La crise sanitaire a renforcé nos craintes face à l'urgence climatique. Le virus et les confinements successifs ont été vécus comme une traversée difficile, à la destination inconnue, et nous a montré combien notre modèle était fragile. Des entreprises ont expérimenté le télétravail et certains et entendent continuer sur leur lancée. Des familles ont envie de se recentrer, de déménager, de faire bouger les choses. Si vous souhaitez changer votre manière de vivre, pour une consommation plus saine, qui s'oppose à la surconsommation actuelle, il vous faut l'accord et la bonne volonté de toute la famille, conjoint, enfants. Cela peut être un challenge, presque un jeu pour eux et ils sont très souvent de bonne volonté au moins au début ... Chacun doit s'associer et jouer son rôle, mais on ne peut pas passer de son mode de vie actuel à un mode zero déchet en quelques semaines. Le processus est un peu long.
Pour amorcer le changement il faut totalement changer sa façon d'acheter. On démarre la transition par des achats "maitrisés" et non plus impulsifs. On achète l'essentiel uniquement. Plus de neuf, vive l'occasion. On peut même perdre le réflexe d'achat, et emprunter des livres, des outils, des jeux dans des ludothèques. Et on peut allonger la vie de nombreux objets, on répare, on recoud, on recolle ... Il faut privilégier le vrac, les paniers, sacs en toile de jute, pour mettre ses courses : on évite ainsi les emballages et comme on prend la quantité nécessaire on ne fait pas de gâchis alimentaire. On se tourne vers le local et le bio de préférence ; des bienfaits pour votre santé et pour les artisans et cultivateurs de votre région. On se tourne vers des contenants consignés, des contenants en verre, on retire définitivement le papier d'aluminium et le film alimentaire de la cuisine, au profit d'autres solutions plus écologiques par exemple du tissu enduit à la cire d'abeille et on revient à la serviette de table. Les capsules de café c'est très tendance, mais ce n'est pas zero déchet ! loin de là ! Alors, on passe aux capsules réutilisables, sinon, on revient au café passé de façon traditionnel et issu du commerce équitable de préférence. N'oublions surtout pas de composter les déchets organiques qui constituent environ 30 % de nos déchets selon l'ADEME (épluchures de legumes et fruits, café, thé ...). Cela favorisera la culture de votre potager, car oui l'idéal est de vous lancer dans un jardin potager, pour la plus grande joie des petits comme des adultes ! On remplace les bouteilles en plastiques par l'eau du robinet, et on achète des gourdes en aluminium comme celles qu'on utilise quand on est un campeur ou randonneur si on emmène son panier repas au travail... repas que l'on se cuisine évidemment le plus souvent possible ... Le savon de Marseille, le vinaigre blanc, le bicarbonate de soude, sont des alternatives écologiques aux produits d'entretien que nous utilisons depuis tant d'années au détriment de notre santé et de la santé de la planète. Alors tentons l'expérience de nettoyer autrement ! Qua faire d'autre ? Un geste tout simple : on colle un stop pub sur sa boite aux lettres. On évite ainsi de recevoir des kilos de publicités, qui finiront peut être dans la poubelle jaune, mais autant éviter de faire et d'imprimer du papier inutilement... Au bureau, on évite d'imprimer des documents, on éteint les lumières quand on sort d'une pièce, on ne laisse pas l'ordinateur allumé, ni en veille , on éteint, et on réutilise les feuilles comme brouillon. Dans la salle de bain, on évite les cotons et on achète des disques à démaquiller en tissu et éponge, réutilisables et lavables et on revient aux mouchoirs en tissu de nos grands-parents ! On dit non aux rasoirs jetables, aux gels douche etc... On achète des brosses à dents, brosse à cheveux avec manche en bois, on dit oui au shampoing solide et on revient au pain de savon. Pour sensibiliser les enfants, on peut, dès leur plus jeune âge leur acheter des jouets en bois, en tissu, en caoutchouc naturel. Plus nous leur donnons ces réflexes tôt, plus ils seront naturels pour eux. C'est une génération plus sensible à la nature et qui sera capable d'être plus respectueuse. On peut aussi s'engager différemment dans nos déplacements : on décide de passer au vélo, on aide régulièrement à ramasser des déchets avec des associations, on arrête de prendre l'avion, on crée un potager ... En un mot, consommer moins, mais mieux ! On prend soin des écosystèmes, de l'environnement, de sa santé, et on sort gagnant financièrement. Alors essayons de réveiller les consciences de nos proches et de les convaincre, il n' y a pas de trop petit pas. N'ayons pas peur de la nouveauté, peur du ridicule et essayons de fédérer ! Si chacun fait sa part, c'est déjà un bon début. On tâtonnera, mais le changement passera par de toutes petites choses à l'échelle individuelle, qui seront susceptibles de mener, à terme, vers d'autres horizons, plus larges. A l’époque des tout premiers congés payés en 1936, les campings étaient municipaux et ont poussé peu à peu, ça et là dans toute la France. Tout d’abord, des emplacements nus, pour accueillir les tentes puis les premières caravanes. Peu à peu, au fil des décennies, ils ont fait place à des mobiles homes, puis des chalets grands luxe, des parcs immenses toujours plus paysagés, avec des piscines énormes, des activités équivalentes à celles des villages de vacances… Depuis une dizaine d’années, les offres d’hébergements insolites marquent le retour à un tourisme vert qui permet de redécouvrir la nature sans négliger notre confort, nous réinventons l’univers de nos séjours et nous rapprochons de la nature. Ces hébergements atypiques ont de nombreux atouts, et ils séduisent plus que jamais. Nombre de gîtes, de campings et de chambres d'hôtes offrent des thèmes, des ambiances, en lien avec la nature, avec des roulottes, des tiny houses, des cabanes rondes et semi enterrées de hobbits, des kotas finlandais... Nous allons voir ensemble quels sont leurs points forts et le pourquoi de cet engouement depuis ces dix dernières années.
Le modèle de plusieurs semaines consécutives de vacances au mois d'aôut est dépassé. Les gens veulent maintenant s'offrir de courts séjours, éviter la foule, choisissent, si ils le peuvent, des dates hors congés scolaires et priorisent de vraies parenthèses enchantées et dépaysantes. Les sites de réservations pour ce genre de séjours regorgent d'adresses et d'idées toutes plus insolites les unes que les autres. Plus l'immersion en pleine nature est importante, plus les vacanciers se déconnectent et plus la demande est forte. Depuis le début de la pandémie, dans un climat stressant, les clients sont prêts à mettre un beau budget pour une période très courte avec une recherche d'évasion, une expérience unique pour se sentir l’âme d’un aventurier, le tout accessible financièrement. Contre toute attente, ce ne sont pas des hébergements immenses et luxueux car les gens sont en quête d’authenticité et de retour au terroir. Ce sont de petits logements en bois le plus souvent, de petites surfaces, aux formes toutes plus atypiques les unes que les autres, et au confort un peu minimaliste. Les cabanes dans les arbres, à plusieurs mètres de hauteur, dans lesquels on accède en grimpant avec un système similaire à l' accrobranche, sont nées en Bretagne, chez un des nos clients le Domaine des Ormes. Le concept a tout de suite remporté un très vif succès. Cette immersion au cœur de nos rêves d’enfants, donne à tous pour le temps d’un week end ou d’une semaine, une sensation de dépaysement. On est pourtant très loin des hôtels 5 étoiles, même si le confort est au rendez-vous. En effet, plus les années passent, plus les touristes cherchent le dépaysement, la déconnexion en pleine nature mais avec une très nette montée en gamme. Certains avaient prédit un engouement de très courte durée. Il n’en est rien. Au contraire, les offres se sont multipliées. En duo avec des offres romantiques, en famille ou entre amis, tout le monde semble conquis. Les points forts de ces hébergements sont nombreux. Non conventionnels au niveau de leurs emplacements, de leurs formes atypiques, ils le sont aussi pour les services et les activités qui leur sont associés. Autre point positif et presque primordial, c’est que ce sont des constructions écologiques. Elles occupent un minimum d’espace, leur empreinte carbone minime, sont construites avec des matériaux respectueux de l’environnement qui polluent moins et protègent la biodiversité existant sur le terrain. Cela permet de toucher une clientèle déjà soucieux de la préservation de notre planète mais aussi de sensibiliser d’autres clients au respect de la nature. L'emplacement peut être, comme nous l'avons évoqué, en hauteur dans les arbres, à flancs de collines sur pilotis, mais aussi sur l'eau sur barges ou sur pilotis également, les structures roulantes (les roulottes, caravanes vintages ou tiny houses), ou végétalisées comme les grottes de hobbits. De nombreuses exploitations agricoles se sont lancées dans le camping à la ferme. En effet, la campagne est la deuxième destination plébiscitée par les français après les bords de mer. Dans l’optique d’un développement du tourisme en zone rurale, un peu considéré comme un mode d’accueil chez l’habitant au début de leur création, il est maintenant un véritable havre de paix, au contact des animaux, de l’exploitation, et de nombreuses animations pédagogiques autour de ce métier. Avec l’engouement des produits biologiques, de la vente directe et du local, « Bienvenue à la ferme », « accueil paysan », sont des labels qui aujourd’hui sont gages de qualité d’un accueil respectueux. Le tourisme œnologique a un peu plus de mal à faire sa place aux tonneaux habitables qui pourtant peuvent être un plus indéniable à la visite des domaines et des dégustations de vin. Revenons maintenant aux hébergements en eux-mêmes. Leurs formes sont très nombreuses et variées : octogonales, hexagonales, rondes, le tipi, le pod, le tonneau, le kota, les yourtes et bulles, séduisent par leur ambiance cocooning. La matière phare étant sans conteste le bois, matériau noble qui leur donne un sentiment de chaleur et de sérénité. Les services proposés vont du simple petit déjeuner servi dans un panier, aux repas gastronomiques avec produits du terroir. Saunas, bains nordiques ou jacuzzi, kota grill, sont des produits à forte valeur ajoutée. Quant aux activités, en interne ou avec des prestataires extérieurs, elles sont pensées pour que toute la famille puisse passer un séjour inoubliable. Chaque région possède des atouts, les met en avant et multiplie les offres de loisirs qu’ils soient sportifs, créatifs, ou de détente. Petits et grands savourent des spécialités et découvrent des sensations nouvelles et exaltantes pour le parapente, sports nautiques, escalade, plus zen avec des séances de relaxation, yoga, randonnées, etc… Donner une âme à votre hébergement est nécessaire. Lui donner une orientation également. Vous aimez le vélo et vous situez sur un itinéraire cyclable, pouvez offrir des équipements adaptés, lancez-vous sur l’accueil vélo ! Idem pour la pêche, pour la randonnée, si vous êtes situés sur des grands axes de randonnées et des points d’eau poissonneux. Les choses avancent un peu également pour l’accueil des personnes handicapées. Il existe aujourd’hui des normes à respecter, en matière d’accessibilité des sites et des hébergements. Pourquoi cet engouement ? Un court séjour dans un lieu original, surprenant, offre des instants à couper le souffle, aide à replonger dans l’imaginaire de notre enfance, recrée une part de magie qui manque cruellement dans notre quotidien et cela à n’importe quelle période de l’année bien souvent... Les vacances sont des moments de plaisir et de partage, ou casser les codes, et se dépasser font du bien au moral et permettent de repartir du bon pied. De nombreux professionnels du tourisme en quête d'un souffle nouveau ou des particuliers en reconversion tentent l'expérience de l'hébergement insolite. Ce n'est pas toujours un long fleuve tranquille. Il y a des démarches administratives longues et parfois laborieuses à surmonter, des autorisations à obtenir, des aménagements à prévoir en amont. Faire de l’insolite ne dispense pas de suivre scrupuleusement les règles d’urbanisme pour garantir une conformité aux règles d’occupation des sols et d’assainissement…Les HLL (habitations légères de loisirs) nécessitent des permis d’aménager, les petites constructions de moins de 20 m² nécessitent une simple déclaration de travaux …Le mot qui revient régulièrement pour qualifier ce mode de camping haut de gamme est le GLAMPING autrement dit le camping Glamour…. La qualité est donc primordiale. Les touristes veulent retrouver, au minimum, le confort qu’ils ont chez eux et plus souvent, des prestations liées au bien être. Tout cela ne s'improvise pas. Il faut penser au projet dans sa globalité, trouver le bon créneau, faire le bon choix des produits, établir des retours sur investissements pour avoir l'accord des banques... Un parcours du combattant pour certains, mais qui est indispensable au bon fonctionnement du projet et à un avenir pérenne. Vous pouvez obtenir certaines aides si vous êtes déclarés en temps que professionnel, si votre projet répond à un manque d’hébergements dans une région très touristique par exemple. Des aides au niveau des régions, et des aides européennes, des financements participatifs ou solidaires. Si vous mettez en place des panneaux solaires, de petites éoliennes, vous augmentez vos chances d’avoir des aides mais aussi de toucher un public sensible à tout ce qui a trait à l’environnement et à sa préservation. Le seul bémol est sans doute que, parfois, l'hébergeur pense qu' offrir quelque chose de très atypique suffit à faire une véritable offre de rêve et il néglige l'hygiène, est moins rigoureux en laissant peu à peu les hébergements se défraichir. Sortir du lot ne dispense pas l'exigence due à la clientèle qui est en droit d’attendre une qualité de service à la hauteur du rêve d’insolite qu’on lui vend. Cela impose donc un entretien régulier des espaces verts mais aussi des habitations, de l’isolation, de la peinture, des petits bricolages d’entretien du chalet et de son ameublement. Une présence numérique forte avec un site internet attrayant et bien positionné fait partie des clés de la réussite. Les réseaux sociaux, sont maintenant incontournables, il ne faut pas les négliger. Mais c’est un travail au long court, il ne suffit pas de créer un site attrayant une fois pour toute. Il faut l’alimenter très régulièrement, si on ne peut pas payer des annonces Google. Hélas, de nombreuses petites structures ont perdu pied peu à peu et ont disparu pour certaines. Il faut sans cesse sortir du lot, se démarquer de la concurrence, car le secteur est en plein essor et la concurrence très rude. Se rapprocher des offices de tourisme, faire une publicité locale, directe ou indirecte sera indispensable. Etre répertorié auprès de votre municipalité, votre département, région… Ce sont de toute évidence des hébergements très performants avec une moyenne de 123 nuitées par an au lieu de 54 par lit pour des hébergements plus simples. L’intérêt d’adhérer à un label, une charte ou une certification est grand. En effet, si il y a bien entendu des contraintes à respecter et des démarches très concrètes à suivre rigoureusement, il faut avouer qu’ on gagne en crédibilité. C’est un gage de respect des critères de qualité. Il existe également des annuaires qui regroupent des sites concurrents, mais qui peuvent vous permettre de toucher un public plus grand. Autre point à ne pas négliger : une démarche éco-touristique qui est indubitablement indispensable pour donner à son projet une couleur verte et nature. Des labels environnementaux apportent un soutien pour une sensibilisation à la faune, la flore, des supports d’informations, des idées d’activités en lien avec le recyclage, gestion des déchets, de l’eau et de l’énergie par exemple. Le camping de luxe a donc le vent en poupe et l’insolite fait rêver. On peut maintenant y partir en été, en hiver, ils sont généralement isolés quatre saisons. Ecologique et confortable, même luxueux parfois, ce concept séduit toutes les tranches d’âge et de tous les milieux sociaux. Il existe un réel intérêt financier pour le propriétaire, surtout s’il achète plusieurs petits hébergements distincts. Le prix d’une nuit d’un week end romantique dans une de ces cabanes est plus élevé que le prix moyen d’une nuit sur un forfait semaine d’une chambre d’hôtes traditionnelle. Pour le client, c’est à portée d’un budget serré car sur une très courte période. Tout le monde est gagnant. Les insolites ont donc de beaux jours devant eux. |
AuteurUne petite équipe motivée installée en Bretagne qui vous propose son expérience dans la construction de maisons en bois finlandaises et de produits de loisirs tous plus insolites les uns que les autres ! Archives
Mai 2022
Catégories |